Dans la continuité de son travail de recherche sur " la condition post nazi ", ce dernier essai de Gérard Huber analyse ce qui se révèle lorsque l'on... > Lire la suite
Dans la continuité de son travail de recherche sur " la condition post nazi ", ce dernier essai de Gérard Huber analyse ce qui se révèle lorsque l'on met en scène aujourd'hui Le Marchand de Venise. En s'appuyant sur la signification cachée des noms des personnages ( Shylock/ Shakespeare ), il montre l'existence d'un double marranisme (au XVI siècle est " marrane " tout juif converti de force au catholicisme et qui pratique en secret sa religion) chez Shakespeare qui sera déterminant dans l'évolution de sa pulsion théâtrale.