Dans cette oeuvre poétique, l'auteur observe que dans son pays, la nuit n'a jamais été totale. Elle ne peut jamais l'être sur une nation, un peuple.... > Lire la suite
Dans cette oeuvre poétique, l'auteur observe que dans son pays, la nuit n'a jamais été totale. Elle ne peut jamais l'être sur une nation, un peuple. Il y aura toujours quelques rayons de lumière, fussent-ils minces et ternes, qui brilleront encore. De cette lumière pâle surgira un nouveau matin, une nouvelle création. Selon lui, l'ancienne Côte d'Ivoire mourra de sa belle mort avec tous les monstres assoiffés de sang pour laisser apparaître et vivre une nouvelle génération des vrais fils d'Eburnie.