En demandant à Mélissa Grégoire, à Jonathan Livernois et à Jacques Pelletier d'écrire sur Jacques Ferron, j'ignorais que la question nationale s'imposerait... > Lire la suite
En demandant à Mélissa Grégoire, à Jonathan Livernois et à Jacques Pelletier d'écrire sur Jacques Ferron, j'ignorais que la question nationale s'imposerait avec une telle force, et dans une tonalité aussi mélancolique. Quand, il y a quelques numéros, nous avons fait un Rétroviseur sur Hubert Aquin, nous nous attendions - légitimement - à quelques considérations nationalistes, ne serait- ce que pour dire sa manièrefort peu orthodoxe de servir la patrie. Et pourtant, non.
Extrait du numéro 305 de Liberté, Ministère de la formation, L'éducation à l'ère du management.