Dans ce deuxième tome, les certitudes et l'honneur du désormais célèbre inspecteur Dumontel risquent d'être mis à mal... Chantal Frugier, professeur... > Lire la suite
Dans ce deuxième tome, les certitudes et l'honneur du désormais célèbre inspecteur Dumontel risquent d'être mis à mal... Chantal Frugier, professeur de français, quitte à 18h le lycée où elle enseigne. Elle n'arrivera jamais chez elle. Michel Frugier, son époux, signale sa disparition à la police et à l'inspecteur Dumontel qui ne prend pas l'affaire très au sérieux. Après tout, une femme qui abandonne le domicile conjugal sur un coup de tête, cela se produit tous les jours. Mais le cadavre d'une prostituée est découvert dans les eaux du lac d'Uzurat et la victime ressemble étrangement à Chantal Frugier. La disparition et l'assassinat seraient-ils l'ouvre d'un meurtrier obsessionnel ?Découvrez sans tarder cette nouvelle enquête limousine pleine de suspense et de rebondissements !EXTRAITChantal Frugier se sentait groggy, comme paralysée. Elle ressentait une soif intense et un mal de tête terrible. Dormait-elle encore ? Elle tenta d'avaler, mais sa bouche était sèche comme un oued dans une région aride. Elle fit un effort pour ouvrir les yeux. Ses paupières étaient lourdes. Elle réussit à entrouvrir la paupière supérieure telle une claie de volet en bois. Chantal entrevit une pâle lumière, un peu floue. Elle grelottait, mais elle n'éprouvait pas la sensation de froid. Elle était couchée, pelotonnée en chien de fusil, mais elle ne reconnaissait pas ces sensations : le lit était mou, l'oreiller trop épais. L'odeur ! Quelle était cette odeur humide, d'imperceptible moisissure ? Où était-elle ?CE QU'EN PENSE LA CRITIQUEL'intrigue est très bien ficelée, dans une ambiance noire à souhait. Il n'y a pas de baisse de régime dans ce livre très rythmé, qui tient le lecteur en haleine du début jusqu'à la fin. - GabyH, BabelioÀ PROPOS DE L'AUTEURFranck Linol est né à Limoges où il est aujourd'hui enseignant et formateur à l'IUFM. Grand amateur de romans policiers, il apprécie tout particulièrement les atmosphères d'Henning Mankell et l'expression du sentiment tragique de la vie chez Jean-Claude Izzo. Il avoue un réel attachement pour l'ouvre de René Frégni. Il s'est lancé dans l'écriture pour simplement raconter des histoires, mais aussi pour témoigner des dérives d'une société devenue dangereuse pour la liberté de chacun.