Quelque chose de froid

Biographie de

Né en 1970, Philippe Pelaez est professeur agrégé d'anglais et enseignant en cinéma-audiovisuel. Il a signé Un peu de tarte aux épinards chez Casterman avec le dessinateur Javier Casado, Maudit sois-tu avec Carlos Puerta chez Ankama, et L'Enfer pour Aube avec Tiburce Oger chez Soleil. Il a publié de nombreux projets chez Grand Angle : Puisqu'il faut des hommes, avec Pinel (prix des lycéens au festival d'Amiens 2021), Dans mon village on mangeait des chats (nommé à Angoulême), Pinard de guerre et Bagnard de guerre avec Porcel, Le Bossu de Montfaucon avec Stalner, La Chambre des merveilles et L'Écluse, récompensé au festival du polar de Cognac.
Il signe aussi les deux séries Alter et Furioso chez Drakoo, ainsi que Super Vilains (Fluide Glacial). En 2023, il publie le western Six chez Dargaud et entame chez Glénat la trilogie Noir Horizon avec Benjamin Blasco-Martinez, un album SF avec une forte approche cinématographique. Chez le même éditeur, il publie Quelque chose de froid en 2024, un polar sanglant avec Hugues Labiano pour une virée dans la mafia américaine des années 30. Hugues Labiano est né à Bayonne en 1963 Il commence sa carrière chez Glénat avec Matador paru en 1992 une série écrite par Gani Jakupi Il revient ensuite à sa véritable passion en réalisant Dixie road chez Dargaud en 1997 avec Jean Dufaux et Mister George au Lombard en 2003 avec Rodolphe et Serge Le Tendre Entre 2005 et 2010 il réalise Black OP toujours chez Dargaud une série consacrée à des agents de la CIA que leur travail emmène d'Inde en Afghanistan en passant par la Russie Un second cycle sort en 2014 En 2012 Labiano signe seul les deux épisodes des Quatre coins du monde Dargaud En 2016 il reprend l'aventure de L'Étoile du Désert aux côtés de Stephen Desberg avec la parution de quatre tomes  En 2020 les deux acolytes entament une nouvelle aventure en trois tomes Le Lion de Judah Dargaud Il collabore depuis deux ans aux collectifs Western "Go West" et « Indians » publiés par Grand Angle et scénarisés par Tiburce Oger Réside à Toulouse