"Il y a du Simenon chez Scerbanenco. Mais un Simenon plus acide, plus violent, secoué parfois par des indignations lyriques, comme une mauvaise fièvre."... > Lire la suite
"Il y a du Simenon chez Scerbanenco. Mais un Simenon plus acide, plus violent, secoué parfois par des indignations lyriques, comme une mauvaise fièvre." Le Nouvel Observateur - "Scerbanenco est au polar américain, ce que Sergio Leone est au western." Le Matin