Dans la première partie du recueil (l'Inerte), l'auteur a tenté de se livrer à cette extrême passivité, ce sommeil lent, qui usent toute chose et... > Lire la suite
Dans la première partie du recueil (l'Inerte), l'auteur a tenté de se livrer à cette extrême passivité, ce sommeil lent, qui usent toute chose et tout être. La seconde partie (Plus Bas), moins lyrique, essaie de contenir cette usure dans l'intimité (le désir, la peur, le souvenir) d'une ou deux personne(s) enfermée(s) dans la maison où passe en silence un être ancien. Le suivre demande de descendre sans cesse : pour voir celui qui dort, les yeux grands ouverts sur nous. A ce moment, nous sommes vraiment nus.