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Alors que les gouvernements socialistes dominent en Europe, leur idéologie est en fait à bout de souffle. On n'a pas encore tiré toutes les conséquences de la chute des socialismes soviétiques et, jamais, les droits de l'individu n'ont fait l'objet d'une telle exigence. La vocation de la droite devient alors évidente. Elle n'est pas seulement ce qui s'oppose à la gauche, elle a ses propres fondements idéologiques, sa vision de l'histoire, sa conception de l'avenir, son idée de l'homme et de la société. Elle seule perçoit toute la logique de la mondialisation, qui ne peut être que compétitive, donc libérale. La droite au fond parle de l'individu, quand la gauche parle du collectif. Or, l'histoire n'est-elle pas le fruit de la longue émergence des droits de l'individu, par rapport aux exigences du collectif ?