Paru initialement en 1929, Tannar de Pellucidar est le troisième tome d'un autre Cycle, celui de Pellucidar qui comprend six volumes. Sa première publication... > Lire la suite
Paru initialement en 1929, Tannar de Pellucidar est le troisième tome d'un autre Cycle, celui de Pellucidar qui comprend six volumes. Sa première publication en français date de la fin des années 1960.
Dans ce cycle, la Terre est une sphère creuse dans laquelle se trouve le continent de Pellucidar. Ce sont le prospecteur David Innes et son compagnon, l'inventeur Abner Perry, qui découvre par hasard ce continent intérieur.
Jason Gridley, jeune Californien passionné de radio, reçoit un jour un appel de détresse d'Abner Perry provenant de Pellucidar qui lui résume la situation : un peuple inconnu de pirates, les Korsars, a envahi une partie de l'Empire de David Innes. Lequel a envoyé une armée pour les contrer. Mais les Korsars, bien que battus, ont fait des prisonniers dont Tanar, fils de Ghak le Chevelu, roi de Sari. David Innes organise une expédition pour tenter de les secourir. À bord du bateau pirate, Tanar fait la connaissance de Stellara, la fille du Cid, le chef des pirates. Ils parviennent à s'enfuir au cours d'une tempête et seront tout à tour victimes, lors de leur errance à travers Pellucidar, des pirates Korsars lancés à leurs trousses et des divers peuples qu'ils vont rencontrer : dans l'île d'Amiocap, d'où vient la jeune fille (qui y retrouve inopinément son vrai père Fédol, un chasseur amiocapien) ; dans les grottes des Coriopis qui s'emparent d'humains pour les dévorer ; dans l'île de Hime, où ils sont repris par les Korsars. Là, ils découvriront que David Innes est également prisonnier des pirates... A la lecture du message, Jason Gridley décide donc de partir au secours de David Innes...
Edgar Rice Burroughs, né à Chicago (1875-1950), est plus connu aujourd'hui comme le créateur des aventures de Tarzan. Pourtant les ouvres de science-fiction de ce grand précurseur dans le genre planet opera (Cycle de Mars, de Vénus, de la Lune, de Pellucidar) méritent amplement d'être redécouvertes.