Philippe Legorjus est, au moment des faits, patron du GIGN où il est entré quelques années plus tôt. Ancien membre des commandos de marine, auteur de faits d'arme reconnus, il décide de quitter l'armée et de changer de vie un an seulement après les évènements d'Ouvéa. Il a raconté ses missions dans un premier ouvrage La morale et l'action et donne ici son témoignage à la lueur de nouvelles découvertes sur la prise d'otages à Ouvéa.
L'ouvrage a été écrit avec la collaboration de Jacques Follorou, journaliste d'investigation, collaborateur au Monde.