Déflagration d'images. Les mots se désarticulent. Sous mon plafond de pierre, je reçois le rouge de l'aube à travers un trou qui a le visage d'un... > Lire la suite
Déflagration d'images. Les mots se désarticulent. Sous mon plafond de pierre, je reçois le rouge de l'aube à travers un trou qui a le visage d'un poisson-lune. Comme un point-nombril, comme un oil-centre qui me projette en tentacules dans le théâtre de vivre. La vie est ce voyage en charpie contre toutes les phrases poncées des grammaires totalitaires.