Voici deux volumes d'un créateur génial servi par un homme de théâtre considérable, Jean Gillibert. Le même souci de la réalité théâtrale de... > Lire la suite
Voici deux volumes d'un créateur génial servi par un homme de théâtre considérable, Jean Gillibert. Le même souci de la réalité théâtrale de William Shakespeare - et non la seule " dramaturgie " de ses pièces - a guidé Gillibert et l'a obligé. Que l'anglais soit la plus latine des langues saxonnes, au nom secret de cette ambiguïté, a su servir ce tragique d'un réel poétique et lyrique étonnant.