Biographie de Efa
Efa est né à Sabadell, en Espagne, le 6 décembre 1976. A 13 ans, il rentre au lycée sans conviction, l'abandonne pour une école d'arts et métiers où il suit des études de graphisme, puis quitte également cette dernière. Dès lors Efa décide d'être son propre formateur. Ce qu'on appelle un autodidacte, quoi.
Le secret d'Efa pour se former lui-même ? Profiter de la vie ! Pendant ces années de jeunesse bénies, l'artiste dessine de tout, beaucoup, et joue de la guitare avec des groupes de rock montés avec des collègues.
En 1995 il réalise avec des amis son premier fanzine: Realitat Virtual. À partir de cette date, Efa travaille dans un studio de dessin animé et en parallèle comme illustrateur free- lance.
Efa entre en bande dessinée grâce à une collaboration avec Toni Termens au scénario qui donnera, en 2001, la série "Les Icariades" (3 tomes et une intégrale parus chez Paquet). En 2002, il se lance dans une série en solo, "Rodiguez" (2 tomes, chez Paquet également).
En 2004, il publie (à nouveau chez Paquet) L'Âme du vin, album intimiste qu'il scénarise et dessine. Entre 2007 et 2009, il dessine et met en couleurs la série "Kia Ora" (3 tomes chez Vents d'Ouest, sur un scénario d'Olivier Jouvray et Virginie Ollagnier). En 2008, il rejoint l'équipe d' "Alter Ego", où il retrouve Mathieu Reynes, un auteur rencontré chez Paquet.
En 2011, Efa publie avec Régis Hautière, chez Delcourt, les deux tomes de la série "Yerzhan" (inachevée à ce jour).
Puis il rempile pour la deuxième saison d' "Alter Ego", dont il dessine 3 tomes. En 2014, il publie "Le soldat" avec Olivier Jouvray aux Éditions Le Lombard. Chez le même éditeur il réalise Monet, nomade de la lumière en compagnie de Salva Rubio (2017). Cet album, où le duo rend hommage à l'obsession du peintre pour la lumière, leur vaut une nomination aux Eisner Awards. Efa travaille ensuite avec Denis Lapière sur "Seule" (2018, chez Futuropolis).
Avec Lapière toujours, il compose des histoires courtes pour le deuxième tome du collectif "Marsupilami", chez Dupuis.
En 2020, Efa intègre la prestigieuse collection Aire libre avec Rubio et Django, main de feu, remarquable biographie consacrée à la jeunesse du célèbre musicien Django Reinhardt. L'album est préfacé par un maître du jazz manouche : Thomas Dutronc. Toujours avec Rubio, Efa s'intéresse maintenant à un autre artiste : Degas.
La danse de la solitude, biopic dans la lignée de son "Monet", est prévu aux Éditions Le Lombard.
Influencé par Terrence Malick, Miyazaki, Doisneau, Capra, Rockwell, Jillian Tamaki ou encore les "Spirou" de Tome et Janry, Efa a autant de possibilités graphiques que d'influences éclatées. Percutant sur "Alter ego", intimiste sur Monet, nomade de la lumière, chatoyant sur Django, main de feu, l'artiste espagnol mène un chemin graphique où chaque album est une surprise.
Et une réussite.
Efa est né à Sabadell, en Espagne, le 6 décembre 1976. A 13 ans, il rentre au lycée sans conviction, l'abandonne pour une école d'arts et métiers où il suit des études de graphisme, puis quitte également cette dernière. Dès lors Efa décide d'être son propre formateur. Ce qu'on appelle un autodidacte, quoi.
Le secret d'Efa pour se former lui-même ? Profiter de la vie ! Pendant ces années de jeunesse bénies, l'artiste dessine de tout, beaucoup, et joue de la guitare avec des groupes de rock montés avec des collègues.
En 1995 il réalise avec des amis son premier fanzine: Realitat Virtual. À partir de cette date, Efa travaille dans un studio de dessin animé et en parallèle comme illustrateur free- lance.
Efa entre en bande dessinée grâce à une collaboration avec Toni Termens au scénario qui donnera, en 2001, la série "Les Icariades" (3 tomes et une intégrale parus chez Paquet). En 2002, il se lance dans une série en solo, "Rodiguez" (2 tomes, chez Paquet également).
En 2004, il publie (à nouveau chez Paquet) L'Âme du vin, album intimiste qu'il scénarise et dessine. Entre 2007 et 2009, il dessine et met en couleurs la série "Kia Ora" (3 tomes chez Vents d'Ouest, sur un scénario d'Olivier Jouvray et Virginie Ollagnier). En 2008, il rejoint l'équipe d' "Alter Ego", où il retrouve Mathieu Reynes, un auteur rencontré chez Paquet.
En 2011, Efa publie avec Régis Hautière, chez Delcourt, les deux tomes de la série "Yerzhan" (inachevée à ce jour).
Puis il rempile pour la deuxième saison d' "Alter Ego", dont il dessine 3 tomes. En 2014, il publie "Le soldat" avec Olivier Jouvray aux Éditions Le Lombard. Chez le même éditeur il réalise Monet, nomade de la lumière en compagnie de Salva Rubio (2017). Cet album, où le duo rend hommage à l'obsession du peintre pour la lumière, leur vaut une nomination aux Eisner Awards. Efa travaille ensuite avec Denis Lapière sur "Seule" (2018, chez Futuropolis).
Avec Lapière toujours, il compose des histoires courtes pour le deuxième tome du collectif "Marsupilami", chez Dupuis.
En 2020, Efa intègre la prestigieuse collection Aire libre avec Rubio et Django, main de feu, remarquable biographie consacrée à la jeunesse du célèbre musicien Django Reinhardt. L'album est préfacé par un maître du jazz manouche : Thomas Dutronc. Toujours avec Rubio, Efa s'intéresse maintenant à un autre artiste : Degas.
La danse de la solitude, biopic dans la lignée de son "Monet", est prévu aux Éditions Le Lombard.
Influencé par Terrence Malick, Miyazaki, Doisneau, Capra, Rockwell, Jillian Tamaki ou encore les "Spirou" de Tome et Janry, Efa a autant de possibilités graphiques que d'influences éclatées. Percutant sur "Alter ego", intimiste sur Monet, nomade de la lumière, chatoyant sur Django, main de feu, l'artiste espagnol mène un chemin graphique où chaque album est une surprise.
Et une réussite.