Les « bonnes femmes », celles qui prétendent libérer leur sexe de l'oppression masculine, les SGUM, les Women's Libs, aux États-Unis, les M. L.... > Lire la suite
Les « bonnes femmes », celles qui prétendent libérer leur sexe de l'oppression masculine, les SGUM, les Women's Libs, aux États-Unis, les M. L. F. en France, auxquelles viennent se joindre les « Lesbiennes Radicales », le Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire, les W. I. T. C. H. « conspiration terroriste féminine internationale de l'enfer », etc., ne cherchent en vérité qu'à remplacer notre vieux système patriarcal, infiniment tolérant, qui ne survit que par l'habitude, par un matriarcat tout puissant et esclavagiste. Leur rêve, qu'elles déguisent dans une phraséologie pseudo-révolutionnaire : Asservir l'homme. Dans quel but ? Aucun ! Elles se disent le Tiers Monde opprimé alors qu'elles oppriment et détiennent la plus grande partie de la fortune du monde. Elles se disent esclaves : elles ne le sont que de la mode et de toutes les modes, intellectuelles ou autres qu'elles s'inventent. C'est cette gigantesque escroquerie - celle de la femme esclave - que vient dénoncer Lartéguy. En même temps qu'il pousse le premier cri de révolte de l'homme opprimé par l'impérialisme femelle.