Les Temps Modernes N° 672, janvier-mars

Jean-Pierre Martin, Avant-propos I. Diagnostics : Antoine Compagnon, Quand les écrivains ne s'aimaient pas Patrick Kéchichian, La crise d'identité du critique Claude Burgelin, Et le combat cessa faute de combattants? Pierre Jourde, Comment la critique littéraire s'est suicidée William Marx, Critique littéraire et critique yaourtière Alexandre Gefen, Vertus du décentrement Laurent Jenny, État critique II.
Affects : Éric Chevillard - Jean-Pierre Martin, Critique objective et critique terroriste (entretien) Raphaël Sorin, Autocritique Christine Montalbetti, Dans le jardin de son voisin Nelly Kaprièlan, Lettre à un jeune critique Jacques Henric, Il n'y a de critique que politique Martine Laval, Par effraction Philippe Forest, Pourquoi je suis un si mauvais critique III. Approches : Jean-François Louette, Pas de méthode... Éric Marty, À propos de la critique génétique Juliette Simont, 'Notre temps est celui de la Critique'.
Notes pour une déontologie de l'interprétation philosophique Marie Gil, Le chiffre des lettres. Pour une critique littéraliste Micheline B. Servin, Incursion dans la critique dramatique Jasmine Getz, Philologie (&) critique. En hommage à Jean Bollack Franck Nouchi, Une affaire de générosité Laurent Nunez, À la recherche de la signifiance IV. Enjeux : Dominique Rabaté, Le temps de la relecture Laurent Zimmermann, Critique et création Thierry Guichard, Le fait littéraire Jérôme Roger, Des mots de la critique Jean-Michel Delacomptée, Retour vers le roman lui-même Marielle Macé, Formes littéraires, formes de vie Bertrand Leclair, Point d'achoppement Dominique Viart, Au risque du contemporain.
Pour une critique des enjeux Claude Lanzmann, La juste distance