Il était une fois trois Reines pour un Roi qui régnèrent au cours du XXe siècle dans cette bonne ville de Lyon. Ce dernier, bienveillant auprès de... > Lire la suite
Il était une fois trois Reines pour un Roi qui régnèrent au cours du XXe siècle dans cette bonne ville de Lyon. Ce dernier, bienveillant auprès de nos « Mères », était devenu un « Monstre sacré » : Paul Bocuse. Quant aux trois premières qui l'avaient précédé, elles ont marqué au fer rouge le cour des hommes de la cité du Primat des Gaules. Nos Lyonnaises ont eu le privilège de se succéder dans leur notoriété : « La Mère Fillioux » pour « La Belle Époque », « La Mère Bizolon » au cours des « Années Folles » et enfin, « La Mère Brazier » durant « Les Trente Glorieuses ». De cette grande épopée de « Mères » gauloises du siècle dernier, « Le Père Bocuse » clôtura le bal. Vous allez découvrir ce que fut la sainte trinité des Mères Lyonnaises qui ont brillé au firmament d'une renommée devenue mondialisée. Les armoiries de la capitale des Gaules, composées de trois fleurs de lys pour un lion, leur étaient prédestinées. Chacune a marqué historiquement la cité internationale des papilles. Ce triptyque d'exception est une invitation au voyage culinaire. De la simple buvette au restaurant de luxe en passant par la restauration bourgeoise, la caste des ouvriers, notables et jet-setteurs se retrouve dans ces trois personnages emblématiques. Leur ville a fait du plaisir de la table un art de vivre culturel où trône la convivialité. Trois mondes pour trois femmes, trois patronnes pour un chef, trois merveilles pour une ville.