La crise a incité l'auteur à s'exprimer en raison des « dérives de l'interventionnisme » qui, en partie, ont accru les inégalités, l'endettement... > Lire la suite
La crise a incité l'auteur à s'exprimer en raison des « dérives de l'interventionnisme » qui, en partie, ont accru les inégalités, l'endettement de l'État et l'évasion des capitaux dans le cadre de la dérégulation des marchés financiers. La France, avec les rigidités sociales et la monnaie unique, a perdu en compétitivité. L'auteur présente les solutions possibles et leurs conséquences pour sortir de l'impasse. Persuadé que l'Europe a un rôle important à jouer dans le monde, avec l'engagement des États dans le traité européen, une gouvernance économique et politique de la BCE et une coordination fiscale et sociale, il opte pour l'euro - autrement dit pour une « Europe unie » qui pèserait. Il termine par un manifeste, celui de la foi en l'homme, en la personne.