"Comme de joie rejointe à la belle étreinte, il n'en a toujours pas fini de revenir de vos venues-dahlias ô Dalilas. Des minuits chevelus d'ire grège... > Lire la suite
"Comme de joie rejointe à la belle étreinte, il n'en a toujours pas fini de revenir de vos venues-dahlias ô Dalilas. Des minuits chevelus d'ire grège dans les longues feintes fendues des murs du songe solitaire." Paru en 1976, le recueil de Pierre Lepère, à la manière de Cocteau et de Max Jacob au début de leurs écrits, nous propose une suite de poèmes fantaisistes.