Le froid l'enveloppait, lui, le Bor, la moitié de l'être qui avait eu pour nom Maï-Kia-Dor. Ce froid le faisait souffrir et en même temps l'arrachait... > Lire la suite
Le froid l'enveloppait, lui, le Bor, la moitié de l'être qui avait eu pour nom Maï-Kia-Dor. Ce froid le faisait souffrir et en même temps l'arrachait à la nuit de l'espace transitoire engendré par la dissociation. Le Bor était maintenant une créature vivante, une créature de chair : un homme.