"Le 18 mars, alors que Fernando Ngangulau faisait les derniers préparatifs de son retour vers l'Angola natal, il entendit un crépitement subit d'armes... > Lire la suite
"Le 18 mars, alors que Fernando Ngangulau faisait les derniers préparatifs de son retour vers l'Angola natal, il entendit un crépitement subit d'armes à feu. Le bruit provenait des environs de l'état-major de l'armée congolaise où résidait Marien Ngouabi, le président de la République. Marien est mort. C'est terrible. Quelle Afrique!" Fernando Ngangulau se souvenait ainsi de son itinéraire dans ce retour inespéré qui l'avait conduit, d'abord dans l'armée de Mfuenola au Zaïre, puis dans la guerre meurtrière d'Angola.