Finalement, qui m'a assassiné ? Cadavre sur du marbre. La peau grise. Ouverte. Des bistouris, ces instruments effilés : incision du cour pour en retirer... > Lire la suite
Finalement, qui m'a assassiné ? Cadavre sur du marbre. La peau grise. Ouverte. Des bistouris, ces instruments effilés : incision du cour pour en retirer une balle. Deux. Personne n'a entendu la détonation. La demeure est vaste, à l'abri d'un jardin touffu. À quelle heure ? Pour quelle raison ? Telles sont les questions que se pose le narrateur du Héros transpercé. Hommage ironique aux labyrinthes du nouveau roman, ce polar métaphysique est, d'abord, un livre sur la mémoire et les images. Images trompeuses, et parfois mortelles.