Momot, dont nous avons conté l'enfance désastreuse et qui se croyait homme, souffrait donc de deux sortes de complexes : d'être corbeau d'une part... > Lire la suite
Momot, dont nous avons conté l'enfance désastreuse et qui se croyait homme, souffrait donc de deux sortes de complexes : d'être corbeau d'une part - son enveloppe physique était indiscutable -, donc mal perçu par l'humain, et d'être, en tant qu'homme, décrit comme médisant et acharné. C'était beaucoup pour un seul être, et c'est pourquoi il avait choisi le silence, sachant être à l'écoute de l'autre, plus attentif que certains psys, plus désireux de fouiller l'âme humaine car il espérait s'y intégrer.