Le culte de Thérèse - Une nouvelle érotique

Dans la famille trio-de-poêle, on sacrifie au culte de Thérèse. cette fratrie lubrique pratique avec ferveur et profondeur jusqu'à l'obsession.POUR PUBLIC AVERTI. Le lendemain, le soleil tapait à plein. Chantonnant, échangeant des plaisanteries gaillardes, les frères travaillèrent dur en compagnie de leur sour. Vers midi, rouges et en sueur, ils finissaient de charger la charrette, quand les deux hommes renversèrent Thérèse sur le tas de foin.
Couchée sur le ventre, sa blouse remonta. Elle avait écouté Victor. Son fessier rebondi s'offrit aux yeux des gars. Thérèse sentit les grosses mains calleuses caresser ses fesses, puis les pétrir.C'est un duo de dames qui nous a concocté cet élixir rural à la rugueuse saveur gaillarde. La paillardise sous leurs plumes débridées prend les formes d'un plaisir de lecture trop bref !EXTRAITThérèse arborait des rondeurs qui tiraient sur les coutures de ses blouses trop courtes.
Campées sur des jambes solides, ses fesses se dandinaient allègrement, et ses seins se répandaient à l'envi. Félix, le facteur, regardait avec des yeux remplis de convoitise ces formes généreuses qui lui chaviraient les sens. Il n'était pas le seul ! Les regards des hommes causaient chez Thérèse des fourmillements qui la faisaient rougir et des chaleurs qui la laissaient moite de partout. Les jumeaux trouvaient injuste d'avoir à domicile cette belle poulette bien grasse, et de ne pouvoir y toucher ! Jusqu'au jour où le tempérament sanguin de Victor l'emporta, brisant l'interdit.À PROPOS DE L'AUTEURAva Ventura, on ne connaît d'elle que son pseudonyme, qui la qualifie entièrement.
En effet, cette aventurière est née à Buenos Aires en 1958. Fille d'un gaucho et d'une riche héritière d'un magnat de la viande de Chicago, elle mène une vie d'insouciance et de plaisirs, collectionnant les amants comme d'autres les papillons. À 33 ans, elle est à la tête d'une fortune qu'elle dilapide dans les casinos de la terre entière. Ruinée, elle se fixe à Paris où dans le quartier de Belleville on la connaît comme la dame de la bibliothèque qu'elle fréquente assidûment.
Elle rend des services à la libraire de son quartier et c'est à cette occasion qu'elle découvre les éditions Krakoen, à l'égard desquelles elle professe une admiration sans bornes allant jusqu'à rédiger des notices et à conduire des interviews. Comme sa plume allègre la démange, elle a répondu favorablement à la sollicitation de Ska pour nous conter quelques histoires lestes. Certains pensent qu'elle a davantage rédigé des textes autobiographiques que des fictions.Dominique Dar est une dame indigne ayant raccourci son nom à la ville pour le faire rimer avec braquemart ! Elle dissimule ainsi son statut de notaire de campagne pour vivre les fantasmes qui l'habitent.
Sous sa plume, les tétons dardent hors des corsages, les sexes montrent le ciel hors des braguettes. Une écriture à cour joie et à culs vaillants. Tout pour plaire dans la collection Culissime.