Ce poème se replace dans une suite : Les degrés de l'arc-en-ciel. « Je vais et viens aux vents de la tempête De ma pensée incessamment troublée.... > Lire la suite
Ce poème se replace dans une suite : Les degrés de l'arc-en-ciel. « Je vais et viens aux vents de la tempête De ma pensée incessamment troublée. par quoi durant si longue frénésie, Ne pouvant plus, je fais plus que ne puis. » Maurice Scève Délie (CCCXCIII)