Isidore Ducasse nous a laissé sous le nom de comte de Lautréamont, sans doute, l'ouvre la plus corrosive, la plus fascinante, la plus insolite de toute... > Lire la suite
Isidore Ducasse nous a laissé sous le nom de comte de Lautréamont, sans doute, l'ouvre la plus corrosive, la plus fascinante, la plus insolite de toute la littérature française : Les Chants de Maldoror. Et, comme il l'écrit lui-même : " Allez y voir vous-même si vous ne voulez pas me croire. "