Menu
Mon panier

En cours de chargement...

Recherche avancée
  • Télécharger des extraits

La main d'ombre

  • La Piterne

  • Paru le : 26/01/2019
Quand éclata l'imprévu scandale du meurtre de la comtesse d'Orthyse, notre hôtesse commençait à donner les signes d'une méchante humeur. Tramsel... > Lire la suite
0,99 €
E-book - Multi-format
Vérifier la compatibilité avec vos supports
Quand éclata l'imprévu scandale du meurtre de la comtesse d'Orthyse, notre hôtesse commençait à donner les signes d'une méchante humeur. Tramsel proposa le jeu de la Main d'ombre. Un moyen sûr d'entrer en communication avec les esprits. Il fallait des conditions particulières de local, le salon les remplissait avec sa grande baie vitrée communiquant à la salle à manger. L'épreuve était impressionnante et demandait des nerfs solides, des caractères trempés.

Fiche technique

  • Date de parution : 26/01/2019
  • Editeur : La Piterne
  • Collection : Vite lu
  • ISBN : 978-2-37867-032-0
  • EAN : 9782378670320
  • Format : Multi-format
  • Caractéristiques du format Mobipocket
    • Protection num. : pas de protection
  • Caractéristiques du format ePub
    • Protection num. : pas de protection
  • Caractéristiques du format Streaming
    • Protection num. : pas de protection

À propos de l'auteur

Biographie de Jean Lorrain

Journaliste le mieux payé de Paris, Jean Lorrain, né Paul Alexandre Martin Duval (1855-1906), aime la fête, le travestissement, le scandale. Celui qu'on appelle « le fanfaron du vice » fréquente le tout-Paris des arts, des lettres et du demi-monde, devient l'ami de Sarah Bernhardt et d'Yvette Guibert, mène une vie désordonnée. Ses provocations lui vaudront procès et duels, dont l'un au pistolet contre Marcel Proust en 1897.
Jean Lorrain n'est pas seulement un chroniqueur dont on redoute la plume méchante. Venu de Normandie comme Maupassant (qu'il croisa dans son enfance), Jean Lorrain est, avec lui, le grand nouvelliste de son temps. Réalistes ou fantastiques, ses récits décrivent un monde interlope (prostitution et inversion), gagné par l'ennui, avide de stupéfiants et de perversions de tout style. Mettant en scène des figures décadentes qui doivent beaucoup à Barbey d'Aurevilly (Monsieur Bougrelon, 1897) et à Huysmans (Monsieur de Phocas, 1901), ses romans cultivent les fleurs morbides de l'esprit fin de siècle.
Jean Lorrain - La main d'ombre.
La main d'ombre
0,99 €
Haut de page