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L'hiver d'Orléans

  • FeniXX réédition numérique (Elvire)

  • Paru le : 01/01/1987
La ville est sourde aux appels angoissés du solitaire, et de surcroît l'hiver, monotone et cruel, cristallise les inquiétudes et accable encore l'esseulé.... > Lire la suite
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La ville est sourde aux appels angoissés du solitaire, et de surcroît l'hiver, monotone et cruel, cristallise les inquiétudes et accable encore l'esseulé. Un soir de Noël, acculé dans l'oubli, il faut fuir. Une issue... Dormir... Et rêver. Mais ce n'est pas un simple rêve. C'est une vision. Au réveil, Gène Chanteline nous gifle amicalement le message : Se chercher, se comprendre... Chercher l'autre, le comprendre...
L'accepter, lui tendre la main, parfois..., souvent... L'écouter toujours. Orléans est le prétexte à cette démarche scabreuse. Pendant le temps d'un rêve poétique et visionnaire, cette ville qu'elle aime sera l'objet-transfert de sa préoccupation. C'est Orléans qui est malade. Tantôt cruelle, tantôt stupide. Tantôt criante et tantôt muette. Parfois délirante, parfois bégayante. Souvent ignorante, souvent fuyante.
De plus en plus geignante, de plus en plus souffrante. Le cri de Gène Chanteline à sa ville bien aimée : « Orléans ! Tu souffres comme moi d'insuffisance d'amour. Seule la poésie peut te sauver. » Poésie-question, poésie-vision, poésie-désir, poésie-foi, poésie-espoir, poésie-confiance. Un mot n'existera jamais dans le langage de Gène Chanteline : Poésie-résignation. Gaël Cruffeald

Fiche technique

  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages : 96
    • Taille : 18 862 Ko
    • Protection num. : Digital Watermarking
Gène Chanteline - L'hiver d'Orléans.
L'hiver d'Orléans
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