L'appartenance de l'espèce humaine à l'arbre de l'évolution du vivant permet de suivre la complexification à l'oeuvre dans un équilibre concurrentiel.... > Lire la suite
L'appartenance de l'espèce humaine à l'arbre de l'évolution du vivant permet de suivre la complexification à l'oeuvre dans un équilibre concurrentiel. Cette intégration dans les sciences de la nature et de la vie ne met-elle pas à nouveau l'exception humaine en évidence ? En situant l'homme comme l'avant-garde d'une évolution livrée aux récompenses dans les succès d'un tâtonnement, cette évolution ne trouve-t-elle pas en lui une graine de déterminisme ? L'homme est-il le maillon futur, l'enfance capricieuse, d'une complexité croissante qui saura un jour sauver l'équilibre vital de la biosphère ? Un nouveau paradigme émergerait-il d'un système complexe équilibrant le hasard par la nécessité ? Ne convient-il pas de s'interroger sur la nécessité d'une réflexion inclusive des différentes disciplines académiques ? Ainsi l'homme apprend-il à trouver une forme de sagesse.