... Et comme il y avait, tout à l'heure, la nudité calme de la joue du clown assoupi, il y a maintenant la plage blanche et bombée du ventre de l'amante... > Lire la suite
... Et comme il y avait, tout à l'heure, la nudité calme de la joue du clown assoupi, il y a maintenant la plage blanche et bombée du ventre de l'amante qui dessine vite, très vite, puis qui laisse tomber carnet et crayon, première abdication, pour que l'envahissent les premières attaques de la grande déflagration, car elle sait bien, et le clown le sait aussi, le sent au bout de sa langue, contre son menton, que la fureur de dessiner laisse la place à celle du ventre, qui tape de plus en plus fort contre les lèvres de l'amant, qui monte et qui descend comme une barque sur la houle.