Comme de nombreux poètes dans l'âme, j'ai dû, un jour de 1968, quitter la ville, où mon enfance et mon adolescence furent si heureuses et où je m'initiais... > Lire la suite
Comme de nombreux poètes dans l'âme, j'ai dû, un jour de 1968, quitter la ville, où mon enfance et mon adolescence furent si heureuses et où je m'initiais assez tôt, troubadour et vitelloni, aux délices du fin'amor pour déverser ma fougue et mon énergie dans les torrents artistiques de la capitale. Je suis revenu depuis à Toulouse à travers les pupilles noires des flamencas sur les avions du Sud et le long des routes en vers luisants de la photographie.