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Ces pages sont écrites sans autre préjugé que la supériorité de la civilisation et de l'esprit français, hors desquels nous n'avons pas le goût de vivre et qui sont, par ailleurs, la justification de nos prétentions coloniales. Aucun parti politique non plus, n'influence cet exposé. Le mot de politique désigne, ici, non pas quelques unes des opinions qui animent des "partis", mais le jeu des institutions ou des peuples dans la Cité. Le gouvernement des Colonies peut et devrait être laissé, pour longtemps encore, très largement en marge des luttes partisanes.