Le livre de Mlle Guarducci, Le Reliquie di Pietro solto la Confessione della Basilica Vaticano, qui a paru à la fin de février 1965 imposait à M. Jérôme... > Lire la suite
Le livre de Mlle Guarducci, Le Reliquie di Pietro solto la Confessione della Basilica Vaticano, qui a paru à la fin de février 1965 imposait à M. Jérôme Carcopino l'obligation de donner un supplément à ses Études d'Histoire Chrétienne. Il s'agissait, pour M. Jérôme Carcopino, tout d'abord de souligner les confirmations que ce livre lui apportent. En effet, en prouvant que les ossements cachés dans l'épaisseur d'un mur sous-jacent à l'autel pontifical appartenaient sûrement à un seul et même individu qui, probablement, était du sexe masculin et mourut entre 60 et 70 ans, Mlle Guarducci a renforcé par cette expertise anthropologique, la probabilité que M. Carcopino avait énoncée dans ses Études d'Histoire Chrétienne dès 1953, qu'il s'agit des reliques du Prince des Apôtres.