La violence, par sa dimension esthétique, se présente comme une exigence de l'ordre du monde. Elle réside dans les fondements du sublime, caché au... > Lire la suite
La violence, par sa dimension esthétique, se présente comme une exigence de l'ordre du monde. Elle réside dans les fondements du sublime, caché au cour de l'humanisme postmoderne. La philosophie de l'être et celle de la personne, sous les feux de cette esthétique, invitent à mieux cerner l'antinomie de l'existence dont les termes sont la nécessité et la liberté. Dans sa primauté de sujet pensant, l'homme affronte les différentes manifestations du sublime, en construisant sa mémoire autour du visage de l'être.