« L'éphélide engloutit le reste d'un visage, ô cour épanoui dans un cri de hibou augurai et qui tient le sceptre d'une branche. Le tilde vipérin... > Lire la suite
« L'éphélide engloutit le reste d'un visage, ô cour épanoui dans un cri de hibou augurai et qui tient le sceptre d'une branche. Le tilde vipérin est un signe bien doux que la terre dénoue lasse de nos chemins. » Une longue ode poétique de Jean Gacon, dédiée au poète Louis de Gonzague Frick.