Jean-Maxime Lévêque n'hésite jamais, quand il le faut, à monter au créneau. En première ligne est le récit du combat qu'il n'a cessé de mener... > Lire la suite
Jean-Maxime Lévêque n'hésite jamais, quand il le faut, à monter au créneau. En première ligne est le récit du combat qu'il n'a cessé de mener pour la défense et la promotion de son pays et de ses idées. Un récit qui commence par l'évocation de l'entre-deux-guerres, avec son insouciance de la défaite et de l'Occupation, avec leurs frustrations, des combats de libération de la Lorraine et de l'Alsace sous les ordres de Leclerc. Après son passage à l'ENA, Jean-Maxime Lévêque entre dans le saint des saints de la haute administration française. C'est d'abord le temps de la IVe République qui voit défiler vingt-deux gouvernements en onze ans, puis celui de la Ve République, après le retour du général de Gaulle. Devenu président de la République, celui-ci fait de lui son conseiller. Pendant quatre ans, Jean-Maxime Lévêque veille à la réussite de l'ouvre de redressement national engagée par le général de Gaulle, qu'il amène à intervenir dans la conduite de la politique économique et financière du gouvernement. En 1964, il donne sa démission de l'administration pour devenir directeur général, puis président d'une entreprise privée, le Crédit commercial de France. Il fait progressivement de cette banque la plus importante et la plus active banque privée de notre pays. Avant et après que la gauche arrive au pouvoir, Jean-Maxime Lévêque mène un combat solitaire, mais acharné, contre les projets de nationalisation. À la veille de la nationalisation du CCF, il annonce les futures dénationalisations. Prédiction qui étonne sur le moment, mais que nous sommes aujourd'hui tout près de voir réaliser. En première ligne s'achève sur un plaidoyer en faveur d'un libéralisme moderne et authentique. Un livre écrit par un homme qui a doublement réussi, dans les affaires de son pays et dans celles de son entreprise, parce qu'en vrai libéral il fait confiance aux hommes, et qu'en patriote il a la France au cour.