En cas de malheur

Dans la tourmente de la passion - Quelque chose d'insidieux s'est glissé dans l'existence de Lucien Gobillot. Sa tranquillité, son succès professionnel et sa réputation mondaine sont menacés. Dans la tourmente de la passion Quelque chose d'insidieux s'est glissé dans l'existence de Lucien Gobillot. Sa tranquillité, son succès professionnel et sa réputation mondaine, résultats d'un mariage ambitieux et de quelques complaisances juridiques, sont menacés.
Ce qui aurait pu n'être qu'une passade sans lendemain, semblable à celles que sa femme Viviane lui consent avec une complicité protectrice, a peu à peu pris une importance telle que l'avocat en relate l'évolution dans un dossier très personnel qu'il a intitulé : « En cas de malheur ». Tout a commencé avec Yvette, jeune délinquante, dont il défend le cas difficile. Adapté pour le cinéma en 1958, par Claude Autant-Lara, avec Jean Gabin (MaîtreAndré Gobillot), Brigitte Bardot (Yvette Maudet), Edwige Feuillère (Viviane Gobillot), Nicole Berger (Janine), Madeleine Barbulée (Bordenave), Julien Bertheau (le commissaire), Jean-Pierre Cassel (le trompettiste) ; en 1998 sous le titre En plein cour, par Pierre Jolivet avec Gérard Lanvin (Michel Farnese), Virginie Ledoyen (Cécile Naudet), Carole Bouquet (Viviane Farnese), Guillaume Canet (Vincent Mazet), Denis Podalydès (William Martorel), François Berléand (l'associé de Farnese) ; et pour la télévision en 2010, par Jean-Daniel Verhaeghe, avec Line Renaud (Viviane Guérand), Didier Flamand (Marc Guérand), Samuel Labarthe (Sam), Mélanie Bernier (Lucie).
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