Prose qui tient le poème à distance, parole de douleur, déchirée, plus cruelle encore d'aller se nourrir aux premières images de l'enfance et d'en... > Lire la suite
Prose qui tient le poème à distance, parole de douleur, déchirée, plus cruelle encore d'aller se nourrir aux premières images de l'enfance et d'en revenir, désespérée, pour « écrire entre les pattes de cette tarentule millénaire. Être son comptable et son amant. Le cireur obséquieux de ses botillons glacés. » Cette écriture questionnée dans l'image du ver à soie et dans l'appel réitéré vers l'infinitif « écrire », écriture qui est marche, métamorphose, questionnement de notre ignorance.