Comme s'il ne suffisait pas de déplorer la disparition de l'accent circonflexe, voilà que la deux-chevaux et son fameux toit bombé se trouvent rayés... > Lire la suite
Comme s'il ne suffisait pas de déplorer la disparition de l'accent circonflexe, voilà que la deux-chevaux et son fameux toit bombé se trouvent rayés de la grammaire automobile. Ce véhicule aux étonnantes vertus carminatives, qui semblait avoir été conçu pour la manutention et le transport des courants d'air, laissera l'inoubliable souvenir d'une auto qu'il convenait de gouverner aux allures portantes, sous grand largue ou le vent en poupe, toute autre option entravant l'inégalable poésie de ses deux cylindres à plat refroidis par air, dont les 375 cm 3 de motricité pure, pour peu qu'ils ne fussent pas occupés à soutenir l'activité des essuie-glaces, faisaient parler la tôle.