« Les lilas blancs des ferveurs juvéniles à tant fleurir à la longue ont fané. Hérons de cendre aux aigrettes de flamme, portez le deuil des beaux... > Lire la suite
« Les lilas blancs des ferveurs juvéniles à tant fleurir à la longue ont fané. Hérons de cendre aux aigrettes de flamme, portez le deuil des beaux rêves frustrés. La rose souffre au jardin solitaire sur le sol nu effeuillant ses regrets, ses charmes vains ses robes de rosée. » Les éditions de la Tour de feu nous proposent - dans leur collection "Poètes de la tour" - ce recueil de 21 poèmes en prose de Guy de La Mothe (1903-1985).