« Souliers sans maître. Ils sont le vide ; Et le soir gris les a remplis d'ombre perfide. Ils sont l'absence ; Et, côte à côte, le silence des malheureux... > Lire la suite
« Souliers sans maître. Ils sont le vide ; Et le soir gris les a remplis d'ombre perfide. Ils sont l'absence ; Et, côte à côte, le silence des malheureux restés sans cris. » Dans la collection "Les Cahiers de la Revue Neuve", les éditions Debresse nous proposent ici deux longs poèmes en prose d'Antoinette Nusbarme.