« Un jour je décidais que j'avais assez effleuré Le Très-Haut et que j'allais y toucher. Vraiment. Je n'étais pas seule dans le choix. Une phrase... > Lire la suite
« Un jour je décidais que j'avais assez effleuré Le Très-Haut et que j'allais y toucher. Vraiment. Je n'étais pas seule dans le choix. Une phrase m'avait défiée, d'Emmanuel Levinas? : ?Des ressources intellectuelles considérables, peutêtre démesurées, seraient nécessaires? pour toucher à la poésie d'une oeuvre comme Le Très-Haut. La démesure m'allait assez bien, je décidais d'entrer dans le corps du texte et d'y recueillir ma lecture du Très-Haut...