Dante qui recopie le "livre de la mémoire" dans la Vita nuova ; Leopardi écrivant à son père, avant d'être invité à dîner par Umberto Saba ; Sergio... > Lire la suite
Dante qui recopie le "livre de la mémoire" dans la Vita nuova ; Leopardi écrivant à son père, avant d'être invité à dîner par Umberto Saba ; Sergio Solmi qui médite sur le scorpion ; Cristina Campo devant une place de Rome où elle évoque Borges, qu'on retrouve à Palerme en compagnie d'un photographe, Ferdinando Scianna ; enfin, Mario Praz ironisant à l'avance sur les erreurs de la postérité : les auteurs italiens qu'on lira dans ce volume, traduits et présentés par Gérard Macé, semblent parfois se parler entre eux (mais en français) pour repousser les frontières de l'espace et du temps.