Selon l'auteur, les Maliens n'ont pas encore pris suffisamment conscience de cette règle axiomatique du philosophe grec Xénophon qui disait : "Subvenir... > Lire la suite
Selon l'auteur, les Maliens n'ont pas encore pris suffisamment conscience de cette règle axiomatique du philosophe grec Xénophon qui disait : "Subvenir aux besoins de l'Etat est la plus haute vertu après la crainte des dieux." Dans un style empreint d'humour, l'auteur invite ses compatriotes à amorcer un revirement fondamental dans leur rapport au fisc pour qu'il soit envisageable de remplacer dans le pays "les nombreux cercles vicieux par des enchaînements vertueux, structurants et efficients".