Voici dénoncée la fausse innocence. Entre 1894 et 1906, on assista, sous prétexte de défendre un officier douteux, un capitaine canaille, à la première... > Lire la suite
Voici dénoncée la fausse innocence. Entre 1894 et 1906, on assista, sous prétexte de défendre un officier douteux, un capitaine canaille, à la première mobilisation générale de l'Anti-France : certains Juifs par racisme, les Francs-Maçons, les antimilitaristes, les anticléricaux, les politiciens corrompus qui sortaient étrangement indemnes du « scandale de Panama » et les intellectuels dévoyés s'unirent pour déstabiliser l'Armée, l'Église et la Patrie. Depuis lors, cette entreprise infâme n'a point cessé. Car le but éternel des éternels « Dreyfusards » est de mener la France aussi bas que possible. Ayant entendu André Malraux dire que « la liberté existe par et pour ceux qui l'ont conquise », l'auteur estime avoir le droit de dire ce qu'il pense. Y compris à propos de « l'intouchable » Affaire Dreyfus.