Il y a ici une colère, qui sert à ausculter la vie, beaucoup de tentatives tournées vers l'amour, et un contact très précis avec la nature.
Christian... > Lire la suite
Il y a ici une colère, qui sert à ausculter la vie, beaucoup de tentatives tournées vers l'amour, et un contact très précis avec la nature.
Christian Viredaz peut écrire un beau poème de passion (« C'est encore moi »), trouver des formules remarquables, comme « sombrer dans le rêve », et inventer un alexandrin qui rendra jalouse l'Académie française :
« Je suis le sexe pur et l'éperon pourpré. »
Cette poésie est assez complète, elle illustre de multiples thématiques.
Mais nous sommes, d'abord, devant un poète de l'humour.