Des mots qui posent les êtres, les choses, les mouvements du monde, confrontent le dedans (corps, langage) au dehors (évènements du quotidien qui se... > Lire la suite
Des mots qui posent les êtres, les choses, les mouvements du monde, confrontent le dedans (corps, langage) au dehors (évènements du quotidien qui se donnent à voir et à déchiffrer). Brève et elliptique, à la fois intensément physique et comme tendue, violentée par une réalité invisible, la poésie d'Antoine Emaz, s'il faut la situer, serait entre celle de J. Dupin et d'André du Bouchet. « Copyright Electre »