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« Quand on regarde la chaîne des Alpes dauphinoises - écrit Henri Ferrand dans son ouvrage sur Belledonne - l'oil se porte instinctivement vers le plus haut sommet, et l'on demeure attentif à cette haute muraille noire qui semble s'élever d'un jet, droite comme une femme en deuil, des glaciers dont la blancheur contraste à ses pieds. Poétiques à leurs heures, nos aïeux montagnards, un peu mâtinés de Piémontais, avaient été frappés de cet aspect et le nom de "Bella Donna", belle dame, était jailli de leurs lèvres. »