Mon corps s'est retiré à mon désir, doucement, à mesure que j'épuisais en moi l'impatience de ma passion. Un peu par politesse, on s'efface pour... > Lire la suite
Mon corps s'est retiré à mon désir, doucement, à mesure que j'épuisais en moi l'impatience de ma passion. Un peu par politesse, on s'efface pour laisser, à la porte, passer quelqu'un. Ainsi, m'effaçant, j'ai laissé mon corps passer, se porter à disparaître...