« Cette apesanteur qui ouvre la voie au poème : la poésie de Jeanne Benguigui, qui est de celles qui ne nous tiennent pas en repos, interpellé que... > Lire la suite
« Cette apesanteur qui ouvre la voie au poème : la poésie de Jeanne Benguigui, qui est de celles qui ne nous tiennent pas en repos, interpellé que l'on est par la violence des images qu'elle propulse, des décharges qu'elle embrase, non pour parvenir à l'être, mais pour contraindre l'être à parler son identité, pour le contraindre à la parole. » Marie-Claire Courcelle, La République de Seine-et-Marne.
« Le poème traverse son jardin d'Éden perdu, un peu fou, son tapis de prière, qui n'est peut-être pas volant par magie, mais palpitant et vivant de métamorphoses et transmutations biologiques. » Gérard Murail (spécial Jalons).
« Et nous voilà conduits, de métamorphoses en métaphores, à travers les espaces surpeuplés d'invisible. Nous rapportons la certitude que Jeanne Benguigui est un poète important. » Serge Wellens (Noah N° 12).