« Schoenberg le mal aimé », dit Pierre Boulez. Et le mal connu, le mal compris, le mal écouté, le mal entendu. Analysant les ouvres de Schoenberg... > Lire la suite
« Schoenberg le mal aimé », dit Pierre Boulez. Et le mal connu, le mal compris, le mal écouté, le mal entendu. Analysant les ouvres de Schoenberg les plus significatives, et pas forcément les plus connues, cet essai accessible à tous prétend réconcilier l'auditeur hésitant ou hostile avec le plus grand compositeur de la première moitié du XXe siècle. Ni rejet ni apologie mais interrogation, à renouveler indéfiniment. Etudier, questionner, confronter et affronter Schoenberg, un continuateur plus qu'un « casseur » : peut-être le moyen de l'aimer et, par lui, d'aimer la musique contemporaine, même lorsqu'elle s'écarte résolument des conquêtes et des enseignements de son fondateur.